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Au ciné, l'affaire de la BAC Nord réécrite côté policiers - Marsactu

Le film du réalisateur marseillais Cédric Jimenez sort en salles ce mercredi. Il est inspiré de la véritable affaire judiciaire révélée en 2012 et toujours en attente d’un second procès. Film d’action, BAC Nord prend une réelle distance avec les faits, quitte à épouser la version policière.

Alors qu'un second procès doit avoir lieu, le film livre sa version de la très médiatisée affaire de la BAC Nord. (Photo : affiche du film)

Alors qu'un second procès doit avoir lieu, le film livre sa version de la très médiatisée affaire de la BAC Nord. (Photo : affiche du film)

Dès le début du film, un message prévient le spectateur : l’œuvre qu’il s’apprête à voir s’inspire de faits réels, mais relève de la fiction. Une précision bienvenue, qu’il est conseillé de garder en tête du début à la fin de BAC Nord pour en saisir le paradoxe. D’un côté, puiser dans le réel permet […]

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Quelques commentaires sur ce film que je n’ai pas encore vu mais dont je réagi sur l’article de Clara Marot.
1)-Le syndicat Alliance n’est pas un syndicat de droite mais de nombreux éléments professent des arguments d’extrême droite…
cf article du 1 juillet 2017 sur Médiapart;
…Les différentes législations d’exception (État d’urgence, loi sur la légitime défense…) et le large consensus de soutien inconditionnel qui émane de la classe politique conforte cette dynamique d’une autonomisation et radicalisation politique des forces de l’ordre, en particulier dans la Police Nationale.

C’est cette autonomisation et radicalisation politique qui permet l’augmentation de la répression violente du mouvement social comme celle des quartiers populaires.

Ce n’est donc plus seulement à l’aune de la couleur politique des pouvoirs en place que le comportement des forces de l’ordre doit se comprendre mais aussi à celui des dynamiques politiques internes de l’institution et de l’hégémonie de plus en assumée de la radicalité politique d’extrême droite au sein de la police. Ce simple constat doit permettre à chacun et chacune de se prémunir des dangers qui en découlent et des risques que nous courrons face à la radicalisation policière….
C’est pourquoi je renvoie à la réforme proposée par LFI ou d’autres, sur le changement, la révision de l’IGPN et d’autres services…!
2)-Faire manger le tonton avec des barrettes de shit me semble être des méthodes d’un autre age et cet argument est plus pour la défense que ce qui se passe dans la réalité de la B.A.C. Comme le fait que tonton n’a pas de nom, faut vraiment que les enquêteurs se soient fait rouler dans la farine pour que les juges gobent la non-info. Les flics ne sont pas des journalistes,y zont pas à protéger leurs sources…!
3)-Négation vaut affirmation quand le réal. déclare qu’il est ”loin d’être pro-flic”.
4)-Seul point à sauver dans cet article c’est que ”ça rafale” quand le dealer tombe et va au zonzon et qu’il à l’inconscience de reprendre son petit commerce. Mais pas dans une action sur le terrain.
Le cinéma ou toute œuvre de fiction ne peut laisser pendante une affaire soi disant basées ”sur des faits vrais” sauf le Bureau des légendes pour des raisons de recrutement…Skusez mes fautes de français mais le cinéma vaut mieux que cet article.

Le cinéma est politique. Ici, il perpétue une vision raciste ou néocoloniale largement diffusée au quotidien dans les médias, nationaux et locaux, et par les politiciens du coin, de droite comme d’extrême droite, tous blancs. Rien que l’affiche du film révèle beacoup. “Les mâles blancs, dominants” viennent karsheriser les sauvages alentours. L’ovation des spectateurs cannois à la fin de la projection est un remerciement total à ceux qui ont financé et réalisé cette interprétation exiguë du réel car elle conforte leur opinion et la nécessité de leur vote, à droite ou à l’extrême droite. On dirait un film de propagande, mal déguisé si bien que le réalisateur se doit de paramétrer notre cerveau à l’entrée

Et oui , vous avez raison , en face de ces pouris de policiers néocolonialistes, racistes , nous n’avons que des petits garçons et petites filles traumatisés , et que l’on empêche de vendre de la drogue . Et puis ils ont raison face à ces méchants policiers d’avoir des mitrailleuses l’on ne sait jamais , les rues sont peu sûres..
Allez voir plutôt des Tom &Jerry ou des Tex Avery , cela vous fera le plus grand bien . Mais non au final, vous allez penser qu’il y a maltraitance des animaux.

Mediapart comme référenciel ?
Parlez nous un peu de la violence et de la violence sociale des quartiers populaires?.
LFI , des troskystes comme référence démocratique, oui pourquoi pas , faut oser, mais bon , c’est votre droit le plus absolu.
Aprés , le ministre de l’Intérieur de l’époque , Valls s’est offusqué, en disant que certains de la BAC Nord avaient salis l’uniforme. Facile.
Facile quand les premiers flic de France ,de Sarko ( nous allons passer au karcher , vous connaissez la suite) et suivants n’ont pas le courage politique de passer à l’action.
Je n’imagine pas une seconde que la Police ne sache pas qui fait quoi , avec qui et comment dans ce monde de la criminalité de la drogue. Quand des jeunes ou moins jeunes jouent au casino avec des liasses de billets épaisses comme la main, roulant en Audi ou autres, affublés de Rolex et sans revenus justifiés , il ne devrait pas être trés compliqué de mettre le coup de pied dans la fourmillière.
Mais la paix sociale a un prix, les boutiques de luxe et concessionnaires auto aussi. Courage politique des politiques , où es tu ?
Et puis un film est un film , rien de plus. Des policiers ont sûrement “déconnés” , je n’en sais rien , les juges ont tranché,point barre. Aprés , faire le “Flic” à la Castellane ou ailleurs, bon courage.

Brallaisse, vos références à trotsky sont récurrentes. LFI, des trotskistes ???? bon ! comme vous dites pourquoi pas !
En même temps, LFI un repère de trotskistes…comme vous y allez ! Vychinski est mort heureusement, non ?
Cependant aujourd’hui quels groupuscules se réclamant réellement du trotskisme existent encore ? de nombreux journalistes, hommes d’état, intellectuels, et autres se sont réclamés de cette idéologie autour de 68…. Ils s’en défendent largement aujourd’hui, mais les faits sont têtus.

Il y a (et il y aura) des kilos de films tournés en s’inspirant de faits divers réels….et il est vrai qu’il y en a des bons. Il y a et il y aura également des tas de livres relatant des faits réels….pas tous mauvais non plus.
Peut-être que le réalisateur en collant cet avis au début a été maladroit ? il a eu besoin d’une histoire et à « fictionné » celle de la bac nord. Bah pourquoi pas.
C’est un film sur les flics, peut être romancé et s’arrangeant avec la réalité, donc peut être un peu gênant. Par les temps qui courent pas évident les “FDO” !
Rien ne nous oblige à aller le voir au cinéma.

Julijo, examinez le parcours politique des “têtes pensantes ” de ce mouvement politique et vous verrez. Santerre y a passé quelques années , l’on ne sort pas innocent de ce parcours.

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